Les deux sous-onglets, mon parcours professionnel, et mes diplômes/mes formations, accessibles en cliquant sur « Qui-suis je « , dans le menu en haut de page, vous permettront d’en savoir davantage sur moi, du point de vue de mon histoire professionnelle et diplômante/formative.

En effet, étant donné les dizaines de thérapies existant, et dont certaines flirtent avec le charlatanisme, voire des dérives sectaires, il est important pour toutes les personnes désireuses d’engager une démarche ou autre travail psycho/hypnothérapeutique, de s’assurer du parcours de son thérapeute, afin de savoir, le cas échéant, à qui elles ont affaire.

J’ai pour habitude de dire aux personnes qui m’interrogent sur la question du choix d’un thérapeute, de s’informer auprès de lui d’au moins trois éléments indissociables, en lien avec l’exercice de son métier de thérapeute, au sens large (Psychologue, Psychiatre, Psychanalyste, Psychothérapeute, etc.)*, à savoir :

1 – Quelle formation universitaire solide de base, dans le domaine psychologique, va sans dire, a-t-il suivie ?

2 – Le thérapeute, a t-il suivi lui-même une thérapie ? De mon point de vue et par expériences, autant personnelles que rapportées, une thérapie d’inspiration psychanalytique ou hypnoanalytique est la base, afin qu’il « règle » ses propres problématiques et autres conflits internes, dans leurs moindres recoins, autant que faire se peut. Cela, aidant accessoirement, à la conscientisation/maîtrise des effets transféro-contre-transférentiels et aussi à limiter toute interprétation projective « grossière ». Il s’agit, par conséquent, d’une démarche professionnalisante. 

Mais cela n’est pas suffisant, et à l’instar de nos homologues suisses, il est souhaitable, qu’il ait suivi une thérapie d’un autre modèle conceptuel (TCC, Hypnose, EMDR, etc.). A tout le moins, il est nécessaire que chaque thérapeute, quel que soit son courant d’appartenance, se soit lui-même confronté à tous les outils qu’il est susceptible d’utiliser. Ceci est particulièrement vrai pour l’hypnose, les TCC, les approches systémiques, les stimulations alternatives et l’EMDR Lyon  

3 – Enfin, le thérapeute est-il supervisé ? Quelle formation professionnelle continue suit-il ? Il est indispensable qu’il se tienne au courant, en permanence, de toutes les évolutions et autres recherches concernant son domaine de spécialisation, s’il en est (neurosciences, addictologie, Hypnose, travail, TCC, émotions, rapport Inserm sur l’efficacité des thérapies, diverses recherches, systémie, EMDR, etc.).

*Voir onglet sur ces différents titres et leurs définitions.