Mes spécialités
À travers cette page, vous aurez accès à l’ensemble des approches dont deux que j’ai élaborées (Hypnothérapie multiréférentielle ®, MAH®) ainsi que les autres outils dont je dispose, et qui me permettent de m’ajuster du mieux que je peux aux différents patients, sachant que l’ajustement, qui intègre l’alliance thérapeutique, est une caractéristique prédictive de « l’efficacité » thérapeutique.
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SPORT ET THÉRAPIE
« Mens sana in corpore sano »
D’ailleurs, l’OMS ne s’y trompant pas, définit la santé comme « un état de complet bien-être physique, mental et social, [qui] ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité » (1946 !) ; l’identité ne s’inscrit-elle pas dans un corps bio-psycho-social ?
Loin des approches psychanalytiques, historiquement, à tout le moins, sans vouloir être caricatural, qui ont ignoré, voire, ignorent encore le corps, accordant le primat à l’appareil psychique*, personnellement, il n’y a pas une thérapie que je fasse sans fortement suggérer, voire, intégrer une pratique physique et/ou sportive.
*Je n’aborde pas ici la dimension physique émotionnelle, une émotion se ressentant dans le corps, à défaut de quoi, cela reste une construction mentale, ou liée à certaines caractéristiques intrinsèques de fonctionnement et/ou pathologies mentales/traumatiques.
A l’appui de ce positionnement, ma pratique physique et multisports de longue date, ainsi que mon expérience d’Enseignant en Education physique et sportive (CAPEPS) fut un temps, ainsi que d’autres diplômes d’état (BEES, BNSSA).
Bien sûr, je ne parle pas de l’excès (surentraînement) ou de l’addiction au sport, susceptibles d’inverser la courbe des bénéfices, puisque, comme pour toute chose, point trop n’en « fallant » (excusez le néologisme grammatical !)… à l’ exception, peut-être, de la barre infernale (chocolat praliné) de chez Pralus 😉
Également, je considère qu’il est important, comme thérapeute, que je donne l’exemple (sans notion d’exemplarité !) afin de ne pas être dans le « faites ce que je dis, pas ce que je fais » ou autres « y’a qu’à, faut qu’on ». En effet, peut-on accompagner un fumeur (ceci est valable pour d’autres addictions) si soi-même on fume ? Peut-on aborder les problèmes de poids en lien avec des difficultés psychologiques (ou pas) si soi-même on est dans les mêmes soucis ? Peut-on accompagner des problématiques phobiques si soi-même on est concerné par le problème ? Peut-on suggérer une pratique sportive si soi-même on ne pratique pas du tout ? Etc. Une étude scientifique canadienne (même si le bon sens le subodorait) a répondu par la négative ! En outre, cela renvoie à la nécessité pour un thérapeute d’avoir fait un réel travail sur lui-même (cf. onglet mon parcours personnel).
Etudes/intérêt de la pratique d’une acitivité physique et sportive (APS) associée à un accompagnement psychothérapique comme adjuvant, donc, ou comme spécifique :
– Stimulations hormonales
Endorphines : source de plaisir et anti dépresseur « naturel », dans les dépressions légères à moyennes, avec cinq fois moins de rechutes dépressives,
Dopamine : plaisir, vigilance, anti-fatigue,
Sérotonine : antidépresseur, anti-fatigue.
Cependant, la neurochimie nous apprend que les comportements sont le plus souvent dépendants de l’équilibre entre différents neuromédiateurs.
– Régulation émotionnelle de l’anxiété (comme adjuvant, donc) et notamment dans les comportements impulsifs/colériques de quelque « origine » qu’ils soient : sevrages addictions, craving, troubles borderline, etc. avec en particulier des sports de combats comme la boxe (anglaise +++) ou des activités physiques comme le cross-fit, et les entraînements type fartlek/Interval training (vélo, course, natation…) qui « rincent » singulièrement et ce faisant, apaisent (!)
– Gestion du craving (envie irrépressible de consommer un produit, et/ou de s’adonner à un comportement) lors, en particulier, d’efforts courts et intenses.
– Renforcement du moi : estime de soi, confiance en soi, affirmation de soi, autant de déclinaisons de l’identité, outre d’autres.
– Etc.
– Par ailleurs, l’APS booste les défenses et renforce l’immunité = Intérêt contre le covid +++
D’une part, une simple séance d’une trentaine de minutes entraine une augmentation de la capacité phagocytaire de la capacité des globules blancs à digérer des éléments étrangers à l’organisme. L’APS bien conduite augmente donc l’immuno-compétence des cellule auto immunes. On assiste également, à une diminution de la sécrétion des cytokines inflammatoires, c’est à dire des pseudo hormones produites par les cellules immunitaires.
D’autre part, quand on répète l’entrainement tous les jours ou un jour sur deux, on a une réponse immune plus importante. Également, L’APS régulière entraine une réponse vaccinale plus importante (cf. covid bientôt ?)
En outre, un entrainement régulier induit une diminution de moitié d’avoir un diabète, ou de l’obésité, lesquels induisent une dépression de l’immunité.
Prudence néanmoins
En effet, si pas de pratique régulière habituelle, et décision de pratiquer soudainement, de manière importante, il y a risque de déprimer l’immunité sur un ou deux jours
Covid, maladie chronique et APS
Dans les maladies chroniques, il est important du maintenir l’APS, d’où l’importance de laisser les salles de sport ouvertes !!! CFQD, enfin, pas pour tout le monde, c’en est affligeant !
– La liste n’est pas exhaustive !
Ma pratique sportive, mes « records » (modestes) personnels
– Sports de combat : savate boxe française, kick boxing, yoseikan budo (mélange de percussions et de préhensions) ; karaté et ju-jitsu (avec Éric Pariset) dans mes années préados/ados.
Champion de France universitaire et vice-champion de France espoir de savate boxe française
– Même si je n’étais/ne suis pas un grand nageur (absence de morphologie ad hoc !) je brassais fort, avec un record de 1’23’’ au 100 mètres, mais suis modeste crawler .
– Athlétisme : 10 secondes 9 dixièmes au 100 mètres, départ arrêté, starting-block et pointes ; on m’a presque déroulé le tapis rouge à l’époque ! 1m98 au saut en hauteur, et pour l’anecdote, je faisais souvent peur aux volleyeurs qui smashaient, car, lors du contre, je sautais très haut (détente sèche ++) malgré ma taille moyenne (179 cms) !
– Rugby : ailier, du fait de ma vision du jeu, et de ma rapidité, pas de mon gabarit à l’époque (74 kgs ; 80 aujourd’hui) ! En effet, la professionnalisation du rugby dans les années 2000, a vu évoluer le gabarit des rugbymen de manière significative.
– Gymnastique sportive : lune et soleil à la barre fixe, avec sortie salto ; rondade flip salto arrière et saut de main salto avant, au sol.
– Autres sports pratiqués avant : cyclisme route, moto sur piste, Fitness, etc.